Une incidence notoire des effets du covid-19 sur la population se perçoit indélébilement. Inévitablement, des comportements nouveaux naissent et bâtissent les relations sociales. Des comportements issuent des réactions individuelles et collectives face à cette épidémie virale qui menace l'espèce humaine. Les distances se creusent entre les Hommes, physiquement mais aussi psychologiquement. Il suffit d'être testé positif au coronavirus pour subir une discrimination sociale et économique. Les effets du confinement n'arrangent en rien les épreuves déjà insupportables imposées par la maladie.
Les gestes et les pratiques de bon usage fleurissent au quotidien sur l'Internet. Cependant, les auteurs restent muets ou moins productifs sur l'accompagnement social et économique des survivants du virus et sur les conséquences du coronarivus sur les relations sociales. Une stigmatisation systèmatique des porteurs du virus sévit dangereux sur la santé mentale et psychologique des affectés. Des regards accusateurs, condamnatoires jalonnent les parcours des survivants du coronavirus. On l'a l'impression qu'ils ont été marquer au fer. L'entendement Commun simulent la contamination à la mort, au décès du hôte. On oublie souvent que cette épidémie n'est pas une fin. Malgré la propagation et la mortalité aléatoire d'une zone à une autre, les mentalités, les civilisations répondent différemment à la réalité du coronavirus.
Si en Europe, en Amérique ou en Asie, les malades sont suivis et profitent largement du soutient et de l'accompagnement social. En Afrique, les contaminés font plutôt face au rejet de la communauté face à une maladie que beaucoup simulent à une malédiction divine.
On constate ici et ailleurs, en Afrique des familles entières excluent des cercles lacaux d'échanges commerciaux. Aux convictions traditionnelles s'ajoutent les croyances moyenâgeux pour la plus triste des chorales. L'épidémie de coronarivus ne doit plus être perçu comme une malédiction par les fervant défenseurs de la tradition et des croyances populaires.
Une sensibilisation, une politique d'informations sur l'importance du soutient social doit être méner. L'organisation Mondiale de la Santé se doit d'investir pour la promotion de nouvelles pratiques et règles humanisantes dans les zones où les infectés subissent les irritations de la société. A l'origine, la fraternité entre les peuples était l'élément caractéristique principale des êtres humains. A présent, les distances se sont creusées entre les Hommes. L'Homme devient nuisible, à éviter.